Enregistrements video (et versions écrites) des interventions de la journée d'étude organisée par Pascal Sévérac, qui s'est tenue le mercredi 6 décembre 2017 à l'ESPÉ de Créteil.
Nous consacrons ici un dossier à la "querelle" des méthodes de lecture, proposant des témoignages et quelques perspectives théoriques, et au terme duquel nous pensons devoir plaider pour la mise en place d'un enseignement plus explicite et méthodique des structures élémentaires de la langue. Accédez au dossier en cliquant ici.
Les changements pédagogiques dans la plupart des systèmes éducatifs occidentaux visent aujourd’hui au développement de compétences générales, et s’appuient sur des notions telles que l’interdisciplinarité, les situations d’apprentissage, l’interaction entre pairs etc. Ils s’opposent aux principes généraux d’une éducation dite libérale qui associent le développement intellectuel à des formes théoriques d’apprentissage – c’est-à-dire explicites et développées suivant la logique des disciplines elles-mêmes. Une explication de ce conflit est offerte à partir du rôle joué par les présupposés épistémologiques en jeu – étroitement liés à des présupposés psychologiques.
"Comment la culture écrite donne forme à la pensée".
Extraits commentés de L'univers de l'écrit de David R. Olson, Retz, p. 304-312.
Dans un ouvrage, désormais classique, intitulé La raison graphique, l’anthropologue britannique Jack Goody s’attache à étudier l’influence des différentes formes de l’écriture sur les modes de pensée.
Nous en proposons ici quelques extraits.
Un texte de Hegel sur l'importance de l'enseignement de la grammaire aux jeunes enfants.